à quel age arreter

qd j'ai commencé à allaiter je visais 6 mois, ce fut dur car elle a tété toutes les 2h pdt 4 mois. Finalement j'ai tenu le coup puis à 6 mois je me suis dit que ce serait bien d'aller jusqu'à un an histoire de lui donner le meilleur pour passer l'hiver. Elle a commencé à être diversifiée à 6 mois. Et puis elle a eu un an le 12 février et je lui donne toujours. Je me dis qu'il faudrait que j'arrete mais je ne suis pas trop motivée alors je me pose des questions et puis il y a l'entourage qui ne comprend pas. Aujourd'hui c'est plus pour ns que je continue ou plus pour moi car j'aime ces petits moments : à la sortie du bain , avant de dormir et pour le petit déj. Je ne lui en donne qu'un car l'autre semble en panne. Est ce que je lui donne mon lait ou est ce que le sein est un doudou? C'est pourquoi je me demandais quand vous avez arreté? Qui a pris la decision vous ou le bébé?
merci pour vos reponses
alexandra

Ici c'est moi qui aie pris la décision de sevrer ma grande. Elle avait 3 ans 1/2.
Elle aurait aimé continuer un peu mais je ne supportais plus ce contact-là avec elle.

En plus j'allaite encore son petit frère qui a 21 mois et un seul allaitement me suffisait.

Mon fils a eu un an le 9 février, donc nos enfants ont le même âge.
Je l'allaite toujours (beaucoup....) et je continuerais tant qu'il le voudra bien.
Je ne m'étais pas fixé d'échéance au départ, je ne pensais pas aller jusqu'au sevrage naturel, mais on est bien partis pour...

Je pense qu'il est plus important de suivre ton sentiment, le sentiment de ta puce, plutôt que de te fixer une limite dans le temps....Laissez-vous vivre. Tant que vous savourez ces moments, que tu n'éprouves pas le besoin d'arrêter, que demander de plus !

Ma puce a 17 mois et on est en train d'arrêter tout doucement. J'ai envi de stopper, mais certains jours elle réclame alors je lui donne. Je n'ai quasi plus de lait c'est je pense pour le contacte et le plaisir qu'elle réclame par moment. On peut passer 3 jours sans TT puis elle va réclamer 4 fois une journée. Je lui donne car je veux que ça se passe en douceur, mais on est sur la bonne voie (enfin pour moi).
C'est personnel, c'est une histoire entre vous. Les autres personnes n'ont pas à juger. L'allaitement n'est peut-être plus nutritionnel (enfin je parle pour nous, d'autres bébés font de bons encas avec le lait maternel jusqu'à tard) mais apporte aussi d'autres choses.

Si tu es toujours partante, si ça te plait, si tu aimes, si ton bébé aime, faut pas se prendre la tête je pense... Il n'y a pas d'âge!!!

J'allaite toujours ma fille de 21 mois et quand on me demande quand je vais arrêter je répond que je ne sais pas. Tant que ça convient aux principaux intéressés pourquoi arrêter?
Et si on insiste j'avoue que je suis une vraie feignasse et que le sevrage c'est trop de boulot :P

sandra a écrit:

J'allaite toujours ma fille de 21 mois et quand on me demande quand je vais arrêter je répond que je ne sais pas. Tant que ça convient aux principaux intéressés pourquoi arrêter?
Et si on insiste j'avoue que je suis une vraie feignasse et que le sevrage c'est trop de boulot :P

Tout pareil que SAndra!! Ma puce a presque 18 mois, et elle réclame encore le sein (surtout la nuit et quand on se retrouve le soir après la nounou). Moi ça me convient, mais quand je n'ai pas envie, je lui refuse en lui expliquant. Allaitement liberté quoi.
J'ai réussi à me libérer aussi du jugement des autres (genre le médecin du travail hier : "mais bous allaitez toujours à 18 mois? A ce stade, c'est de la fusion!"... cause tjrs mon pote), même si ce fut long!

Maverick a 21 mois.
Pour l'instant, ni lui ni moi n'avons envie d'arrêter.
Parfois, je refuse des tétées, genre le midi.

Tous les matins, qd je l'ai contre moi et qu'il se réveille tout doucement, je me dis que c'est vraiment super et qu'on n'a pas de raison d'arrêter.

Par contre, qd il joue plus qu'il ne mange, ça a tendance à me gêner et je stoppe si besoin.

Affaire à suivre donc ....

Ma fille a bientôt 15 mois et je l'allaite toujours matin et soir (et la nuit si elle est malade...).
J'ai eu des moments de doute aussi, surtout au niveau de savoir si c'est assez nutritif, surtout le soir...par contre, j'ai la chance d'avoir un médecin généraliste qui m'a conforté dans mon idée que c'était bien de continuer. Elle m'a dit le plus longtemps vous l'allaitez, le mieux ce sera! Alors maintenant, je suis un peu plus résistante aux réflexions de l'entourage, ça m'a reboosté!

Je crois que cette décision d'arreter n'appartient qu'à toi et ton bébé , chacun est différent dans sa vision de l'allaitement , à toi de voir comment ça se passe dans ta relation avec bébé , à un moment toi ou/et lui n'aurez plus autant besoin et/ou envie de ça .
Suis ton intuition tu saura quand le "moment"

William sevré à 9 mois par manque de lait après la reprise du boulot, je n'avais pas eu les infos necessaires pour maintenir ma lactation. Depuis la naissance d'Eliott il est revenu tétouiller de temps en temps, hier il a fait une vraie tétée (il aura 3ans le 8mai).
Eliott a bientôt 15 mois, allaité matin et gouter, j'ai eu un creux avec une envie d'arreter vers ses 1an, mais j'ai continué parce que je savais que ça me manquerait dans quelques temps. Et je suis à nouveau heureuse d'avoir Eliott au sein.
Quant aux questions de l'entourage, je dis juste que la nature nous a pas fait naitre avec des biberons, pourquoi il faudrait donner du lait artificiel ou d'un autre mammifere (vache, chevre, jument...) alors que le mien est specialement fait pour lui. Un sevrage naturel peut se faire entre 2 et x ans (x pouvant aller jusqu'à 16 ans dans certaines tribus!).
Le principal étant comme toujours d'écouter ce que toi et ton bébé vous voulez. Si tu as du plaisir dans ton allaitement, pourquoi arreter? pour faire plaisir aux gens?!

C'est comme pour le reste (cododo par exemple) passé un certain âge de l'enfant, il vaut mieux s'abstenir d'en parler à l'entourage

djoulaye a écrit:

C'est comme pour le reste (cododo par exemple) passé un certain âge de l'enfant, il vaut mieux s'abstenir d'en parler à l'entourage

Je suis assez d'accord, au moins avec les gens que tu ne sens pas "open".

Avec un mari un brin provoc', ici pas possible. moins t'es open, plus il exagere. pas une bonne façon de semer les graines

Oups ... et non Melplan n'est pas marriée à Nicolas le jardinier ;-)

Salut Seb!!!! je m'attendais à pire en voyant que tu as posté...

sebplan a écrit:

Oups ... et non Melplan n'est pas marriée à Nicolas le jardinier ;-)

qu'est-ce que tu fais ici toi?
j'ai pas posté le bon jour, oups!

Moi je partage le questionnement d'Alexandr.
Isidore va bientôt avoir un an et nos 2 tétées matin/soir nous conviennent à tous les 2 pour le moment.
Mais j'ai l'impression que son évolution s'est accélérée d'un coup : rythme, appétit, centres d'intérêt...avec la motricité, il a un planning exploration débordant : je ne suis plus le centre du monde. Je sens qu'il pourrait se détourner vu le développement de tous ses goûts par ailleurs.
Et ça me fait bizarre car je voudrais évidemment que le sevrage se passe le mieux possible, pour lui comme pour moi (et qu'il y en ait pas un pour prendre l'autre au dépourvu).
J'ai fait l'expérience de le laisser tout un week end : moi avec les copines lui dans la belle famille, avec 2 grosses appréhensions en tête : soit qu'il vive très mal l'interruption d'allaitement (genre crise pour aller au lit) soit qu'il se détourne définitivement de la tétée à son retour.
Je me suis représenté cette expérience de séparation comme un oisillon qui prendrait son envol hors du nid, un cap à passer en me disant "il faut le tenter, lui laisser la possibilité de passer à autre chose".
Et ben rien du tout : au final il a passé un super week end (meilleur que le mien, même!) et il a tété avec bonheur le dimanche soir.

C'est complexe, un mélange de crainte et d'envie de changement. Je voudrais garder la maîtrise du processus, avoir le mode d'emploi ou une boule de cristal pour savoir comment cette "fin" va se passer et faire en sorte qu'elle soit aussi douce que l'ont été les moments partagés durant toute cette année (mis à part le douloureux épisode de découverte des multiples fonctions des 1ères dents... )

Ca fait pas trop avancer le schmilblick tout ça mais c'était juste pour témoigner que tout ce qui est beau et naturel n'est pas forcément complètement simple...

c'est rigolo, pour moi/nous ça s'est passé un peu comme pour Aurélia.
Je l'avis laissé plusieurs jours quand il avait dix mois, et j'appréhendais de ne plus avoir de lait en rentrant ou qu'il ne veuille plus que le biberon. Mais il a repris.

Et puis vers un an je sentais la même baisse d'intérêt, et il me semblait qu'il avait besoin de plus d'un point de vu nutritionnel. En même temps, on voulait (et veut toujours) un autre bébé, et tout le monde nous disais qu'allaiter n'aidait pas. D'un autre côté j'appréhendais un peu de ne plus avoir ce lien avec Tim.

Quand le pédiatre, avec qui je m'entends bien, m'a confirmé qu'effectivement, allaiter ne mettait pas toutes les chances de notre côté pour ne deuxième grossesse, j'ai décidé d'arrêter après nos vacances.

Et à la fin de nos vacances, Tim tétait de moins en moins, et quand on est revenus, je lui ai proposé un biberon, et à mon grand étonnement, on a plus jamais parlé de tétée, il n'a plus jamais demandé. Rétrospectivement, je sais que j'avais un début de grossesse (vite terminée) quand Tim à délaissé peu à peu le sein, ça a dû aider aussi.

Pour mes inquiétudes quant au lien entre lui et moi, je suis tout à fait rassurée : maintenant j'ai le droit à plus de vrais câlins, alors qu'avant la tétée faisait un peu office de.

Voilà, pour nous ça s'est fait naturellement , quand on en avait envie.

Caroline a écrit:

djoulaye a écrit:

C'est comme pour le reste (cododo par exemple) passé un certain âge de l'enfant, il vaut mieux s'abstenir d'en parler à l'entourage

Je suis assez d'accord, au moins avec les gens que tu ne sens pas "open".

Benh moi pas d'accord , j'en ai MARRE d'entendre ça , pourquoi on devrait se cacher , ne rien dire , ça leur plaît pas aux gens , ça ok on a compris ou ça leur fait peur , mais on ne fait rien de mal si ? Ou alors il y a une loi que je ne connais pas !!!
Je suis comme Sebplan , quand ça leur plaît pas j'en rajoute , non mais OH !
Ma fille serait plus au sein et en poussette , on viendrait rien me dire ...




C'était la minute colère du matin , ouf ça fait du bien !!!

T'as bouffé du lion au p'tit dej'?!

Aurélie je ne voulais pas dire qu'il ne faut pas en parler, tout dépend si on a envie de provoquer la discussion ou pas.
C'est juste qu'on lit souvent "les remarques de l'entourage me contrarient ou me font douter". Or, à part les gens chez qui on passe un certain temps, on allaite rarement un bambin devant l'entourage, non ?
Moi ça ne m'a jamais gênée d'en parler parce que je le revendiquais, mais les personnes qui sont sensibles aux réflexions, je me demande pourquoi elles en parlent, voilà tout !

Evidemment quand on passe le week end chez quelqu'un, ça se voit qu'on allaite, mais c'est toujours pareil, quand on laisse glisser les remarques, personne n'insiste.


Bref

Je voulais laisser Raphaël se sevrer tout seul.
Il a tété jusqu'à l'arrivée de son petit frère Roman et avait alors 28 mois.
Je me suis préparée mentalement à un éventuel co-allaitement en rencontrant des mamans le pratiquant et en bouquinant.

J'ai donné une fois une tétée en commun puis je me suis surprise à lui imposer un sevrage non négociable. Je ne le supportais plus au sein, sa façon d'être m'irritée, m'énervée. Et aussi, j'avais l'impression de ne faire que ça, même si Roman n'y est pas pendu en permanence. Six semaines après, j'accepte de temps en temps de faire téter Raphaël pour son plaisir, pour désengorger un néné, pour le consoler d'un bobo. Toutefois, je ne me vois pas reprendre l'allaitement avec lui. Nous avons passé un cap après une merveilleuse aventure. Quand j'ai commencé je ne l'aurais jamais imaginée aussi longue, aussi enrichissante pour moi, aussi pleine d'amour pour nous deux.

djoulaye a écrit:

Aurélie je ne voulais pas dire qu'il ne faut pas en parler, tout dépend si on a envie de provoquer la discussion ou pas.
C'est juste qu'on lit souvent "les remarques de l'entourage me contrarient ou me font douter". Or, à part les gens chez qui on passe un certain temps, on allaite rarement un bambin devant l'entourage, non ?
Moi ça ne m'a jamais gênée d'en parler parce que je le revendiquais, mais les personnes qui sont sensibles aux réflexions, je me demande pourquoi elles en parlent, voilà tout !

Evidemment quand on passe le week end chez quelqu'un, ça se voit qu'on allaite, mais c'est toujours pareil, quand on laisse glisser les remarques, personne n'insiste.


Bref

Eliott tete 2 fois par jour mais dès qu'il est pas dans son element ou qu'il fatigue, il souleve le t-shirt. alors pas facile dans ces conditions d'éviter le sujet : au bar, avec les voisins qui prennent l'apéro, pendant les courses...
pourtant je voudrais eviter le sujet, je suis pas fan de la provoc'. et je suis sensible aux reflexions. mais pas au point de refuser le sein à eliott.

Il est petit ton Eliott encore...
Et tu trouveras toujours des vilaines langues... laisse parler et mets toi dans ta bulle !

Oui c'est sûr que ce n'est pas si simple...
J'ai dû vous énerver un peu avec ma remarque, désolée

Nan mais ça fait du bien de s'énerver parfois au lieu de toujours tout encaisser et se laisser ronger par la culpabilité!

Par exemple, ce qui fait le plus mal au coeur c'est les gens qu'on croyait au-dessus du lot qui retournent leur veste : On était en confiance tout ça et puis paf patatrac, un mur!
Genre une jeune maman très respectable de notre entourage qui nous sort comme ça que sa gamine fait ses nuits depuis qu'elle est sevrée -elle : l'air de dire qu'attendez vous, vous verrez tout ira bien mieux après...?!(avec des petites fleurs piquantes dans la bulle si on était dans une BD)
alors ça je trouve bas nul et non avenu : qu'elle s'occupe de ses oignons et vienne pas mettre la zone et le doute dans le foyer!! C'est pas comme ça que ça marche, je sais, on a tenté plein de trucs, c'est pas une question de manger, d'ailleurs ça serait bien trop simple sinon, s'il suffisait de gaver le nain pour le faire dormir 12h de suite. Non mais oh. approche qu'on s'explique si t'ose encore une fois répéter un truc pareil

Pour les autres pour qui je n'ai toute façon jamais eu aucun espoir, finalement ça me passe au dessus.

ce qui me dérange, c'est de devoir trouver des explications, comme une justification.
Alors que ça serait si simpe de juste dire : "moi ça me convient, je sens que c'est bon pour nous" et c'est tout.
un jour j'y arriverais!

djoulaye a écrit:

Oui c'est sûr que ce n'est pas si simple...
J'ai dû vous énerver un peu avec ma remarque, désolée

oui je me suis sentie concernée et un peu mal. d'où mon exemple en dessous pour dire que pour moi, c'est pas de la provoc, je me sens plutot tiraillée entre allaiter Eliott à la demande, sans me cacher (je fais rien de mal), mais du coup devoir assumer les regards et remarques. une sorte de dilemne, entre assumer ses choix mais pas savoir/vouloir les expliquer.

En fait je ne me rends pas trop compte, parce qu'il me semble que je n'ai pas eu beaucoup de remarques désagréables quand j'allaitais mes "grands bébés". Mais la plupart de mes copines ont allaité plus ou moins longtemps, et dans ma famille tout le monde trouvait ça plutôt bien, ou en tout cas ne disait rien

Mais pour certain(e)s ça doit être plus compliqué en effet...

Moi le petit a 8 mois et on me demande déja combien de temps je vais encore l'allaiter , parce qu'il commence à être grand ... Ce à quoi j'aime bien répondre : je ne sais pas , mais c'est sur dés qu'il a une petite copine j'arrête !
Généralement ça calme bien

ici aussi les remarques fusent, et il m'arrive d'appréhender à l'avance de devoir allaiter en public, alors que zut quoi...je suis zen par rapport à ce choix d'allaitement long...Mais bon les remarques, venant des proches surtout, font toujours mal mais je lâcherais pas hé hé !

Avant je disais que j'arrêterais quand il saura se servir tout seul dans le frigo...mais ayé, il le fait donc pareil que Delph, je répond "quand il aura une chérie, je passerai mon tour "

Un "conseil" communication : quand quelqu'un vous dit "ah mais tu l'allaites encore ?!", si vous répondez en argumentant, vous montrez que vous cherchez à convaincre = vous n'êtes pas sûre de vous, vous vous justifiez donc c'est qu'il est possible que vous ayez tort, vous vous positionnez en présumé coupable.

La meilleure réponse, c'est la vraie curiosité = retournez l'interrogation en disant "apparemment ça t'étonne." pas une question, une affirmation en faisant de l'écoute active = vous nommez le sentiment de la personne (ça peut être aussi "ça te choque").

Du coup, vous retournez la situation : c'est l'autre qui se retrouve en situation de devoir expliquer son point de vue ...
Et vous allez voir, c'est très confortable parce que vous n'êtes plus sur la défensive mais ai contraire en position d'égal à égal.

Faites le test et dites-moi ce que vous en pensez !

merci du conseil, oh grande pretresse de la communication! j'essaye ça dès que ça se presente!

ingrid, fait gaffe, il peut avoir une chérie très tôt! 2,5ans à la maternelle, on a pas le temps de voir arriver!

melplan a écrit:

merci du conseil, oh grande pretresse de la communication! j'essaye ça dès que ça se presente!

ingrid, fait gaffe, il peut avoir une chérie très tôt! 2,5ans à la maternelle, on a pas le temps de voir arriver!

Mais euuuuuuuuuuh Armelle, arrête je vais déprimer là ! Mon toutpetitbébéd'amour n'aura jamais de chérie d'abord, na !


Pour en revenir à ton conseil Sandrine, je tenterais avec ma mère dès qu'elle me reparle de sevrage

Sandrine a écrit:

Un "conseil" communication : quand quelqu'un vous dit "ah mais tu l'allaites encore ?!", si vous répondez en argumentant, vous montrez que vous cherchez à convaincre = vous n'êtes pas sûre de vous, vous vous justifiez donc c'est qu'il est possible que vous ayez tort, vous vous positionnez en présumé coupable.

La meilleure réponse, c'est la vraie curiosité = retournez l'interrogation en disant "apparemment ça t'étonne." pas une question, une affirmation en faisant de l'écoute active = vous nommez le sentiment de la personne (ça peut être aussi "ça te choque").

Du coup, vous retournez la situation : c'est l'autre qui se retrouve en situation de devoir expliquer son point de vue ...
Et vous allez voir, c'est très confortable parce que vous n'êtes plus sur la défensive mais ai contraire en position d'égal à égal.

Faites le test et dites-moi ce que vous en pensez !

a eu sa opremière chérie en crèche ;-)
Merci !!!!!

Ingrid, Lucas

c'est pour ça qu'il ira jamais en société !
Déjà il est obsédé par les fillettes : Lana, Marlène...Pff

Sandrine, merci de l'astuce!! Dès que ça se présente, je dégaine la tétée et la phrase magique qui va avec pour me "protéger" des remarques désobligeantes. t'as un truc pour les regards TRES insistants?
:P

Caroline a écrit:

Sandrine, merci de l'astuce!! Dès que ça se présente, je dégaine la tétée et la phrase magique qui va avec pour me "protéger" des remarques désobligeantes. t'as un truc pour les regards TRES insistants?
:P

des lunettes avec des miroirs en guise de verre

et une grosse langue!!

Merci Sandrine ! Je n'allaite plus, mais je suis souvent sur la défensive pour d'autres choses, avec mes parents nottament (bien sûr ). Et quand je parle de l'association aussi évidemment.
Ce genre d'outil va bien me servir je pense, en tout cas je vais essayer de l'appliquer au quotidien !

Caroline a écrit:

Sandrine, merci de l'astuce!! Dès que ça se présente, je dégaine la tétée et la phrase magique qui va avec pour me "protéger" des remarques désobligeantes. t'as un truc pour les regards TRES insistants?
:P

Rendre le regard, sous forme d'un regard accueillant, avec un sourire (non pas ironique) mais bienveillant en pensant en ton for intérieur : "bonjour ".

Caroline a écrit:

Sandrine, merci de l'astuce!! Dès que ça se présente, je dégaine la tétée et la phrase magique qui va avec pour me "protéger" des remarques désobligeantes. t'as un truc pour les regards TRES insistants?
:P

les regards insistants ne sont pas forcéments négatifs, les gens peuvent être surpis mais si ça les choque vraiment, à mon avis ils regardent ailleurs non ?
Un beau sourire genre "vous aussi vous trouvez ça chouette hein ?" c'est très bien, si la personne rend le sourire c'est qu'elle est plutôt d'accord, si elle part outrée c'est qu'elle est jalouse

merci pour toutes vos reponses ça me conforte dans l'idee de continuer!
j'espere que cela ne genera pas la mise en route du 2eme comme je l'ai lu dnas un de vos messages
bon dimanche

alexandr a écrit:

merci pour toutes vos reponses ça me conforte dans l'idee de continuer!
j'espere que cela ne genera pas la mise en route du 2eme comme je l'ai lu dnas un de vos messages
bon dimanche

l'allaitement est une façon naturelle d'espacer les naissances en retardant le retour de couches.
A partir du moment où tu as ton retour de couches (il peut arriver tard, genre vers 18 mois ou plus tard), tu peux parfaitement tomber enceinte et si ce n'est pas le cas, rien à voir avec l'allaitement.

Attention, parce que même sans retour de couches, l'allaitement n'est pas un contraceptif efficace à 100%!

Ma maman vient de se faire enlever une tumeur cancéreuse au sein. Sa mère avait eu la même chose.
Le gynéco qui soigne ma maman lui a dit que "maintenant, on conseillait d'allaiter le plus lontemps possible pour diminuer le risque de tumeur".
Je mets de guillemets car c'est la retranscription de ma maman : du coup, elle est 100% allaitement long !!!!
Attention, je ne voudrais pas qu'il soit dit que la pression est mise sur les mères pour qu'elles allaitent.
Le gynéco a p'être voulu être rassurant avec sa patiente ....

capucine a écrit:

Ma maman vient de se faire enlever une tumeur cancéreuse au sein. Sa mère avait eu la même chose.
Le gynéco qui soigne ma maman lui a dit que "maintenant, on conseillait d'allaiter le plus lontemps possible pour diminuer le risque de tumeur".
Je mets de guillemets car c'est la retranscription de ma maman : du coup, elle est 100% allaitement long !!!!
Attention, je ne voudrais pas qu'il soit dit que la pression est mise sur les mères pour qu'elles allaitent.
Le gynéco a p'être voulu être rassurant avec sa patiente ....

ça fait partie des avantages santé de l'allaitement : l'allaitement protège du cancer du sein. Plus l'allaitement est long et plus cet effet est renforcé.

Les gynecos recommandent donc aux femmes à risque pour le cancer du sein d'allaiter le plus longtemps possible.
Pas question de "mettre la pression" mais simplement d'informer (tout comme on t'explique que manger 5 fruits et légumes par jour est bon pour la santé).

Comme disait une psy entendue il y a peu : en tant que citoyen, on ne peut qu'encourager l'allaitement (pour des raisons de santé publique, d'ecologie, d'économie, ...). Mais chaque choix est un choix individuel qui résulte de l'histoire, des convictions, des valeurs de chacun et qui est profondement personnel.